Ainsi, sur cet atlas, les territoires de la Jordanie et de la Syrie s’étendent jusqu’à la mer Méditerranée, omettant les frontières de l’Etat hébreux telles que le reste du monde les connaît.
L’omission, récemment révélée par le journal catholique “The tablet”, suscite bien évidemment une vive polémique et a conduit Harper Collins à présenter ses excuses et à promettre le retrait de l’édition incriminée, et publiée depuis le mois de mai 2014, sur sa page Facebook en ces termes :
“HarperCollins regrets the omission of the name Israel from their Collins Middle East Atlas. This product has now been removed from sale in all territories and all remaining stock will be pulped. HarperCollins sincerely apologises for this omission and for any offence caused.“
Parallèlement, la filiale Collins Bartholomew, responsable de l’édition affirme de son côté que : “l’atlas est développé spécifiquement pour les écoles du Moyen-Orient. Les cartes donnent une couverture en profondeur de la région et de ses enjeux et le fait d’enlever Israël des cartes en question relève d’une préférence locale”, selon laquelle il aurait été “inacceptable” d’inclure Israël…