Sous la houlette d’Angèle Dormoy, Présidente de la FTPE, ces réunions de travail ont accueilli Madame Valérie Paul, Commissaire à la Vie des Entreprises et au Développement, Madame Muguette Daijardin de BPI France, de Monsieur Schmider, représentant de la DRFIP et Monsieur Nagam, Président de la FTPE Outremer et Guadeloupe.
L’objet était de dresser un inventaire des dispositifs existants et de mieux cerner ceux qui pourraient être posés à Saint-Martin au service des entrepreneurs en difficulté.
Bon nombre de ces dispositifs comportent une part d’aménagement fiscaux à l’échelle nationale. Mais, la Collectivité ayant compétence à la matière, il est nécessaire de voir ces dispositifs fiscaux adaptés/adoptés par les élus locaux de façon à garantir leur efficacité (cas du CICE inapplicable à Saint-Martin).
De prime abord, et même si l’on sait que le fichier des entreprises est localement quelque peu surévalué, ce seraient prêt de 70% des très petites entreprises qui pourraient être concernées par ces dispositifs dès lors qu’ils trouvent leur adaptation au territoire de Saint-Martin.
Enfin, un deuxième point plus subjectif vient corser leur mise en place : l’entrepreneur en difficultés n’a pas pour habitude localement de se tourner vers l’état ou les services publics pour faire face à celles-ci, trop occupé qu’il est à la survie de sa structure.
Pour pallier ces difficultés, la FTPE va par voie de conventionnement devenir l’interlocuteur unique des entrepreneurs, qu’ils soient adhérents ou non à la fédération, pour pouvoir instruire leurs dossiers et préparer avec eux les étapes de l’accompagnement qui permettrait la sortie de la “zone rouge”.
La FTPE poursuit donc sa montée en puissance et est donc tout naturellement à la disposition des entrepreneurs qui éprouveraient le besoin d’un accompagnement, avec un conseil : les solutions sont toujours beaucoup plus évidente lorsque les difficultés sont assumées rapidement…
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