L’ensemble du troupeau a fait l’objet d’un diagnostic vétérinaire et les animaux se verront administrer le traitement adéquat. Si l’impact de la maladie a effectivement de quoi émouvoir, celle-ci est néanmoins parfaitement maitrisable et sera maîtrisée.
Si la CCISM redouble d’effort pour structurer la filière élevage, notamment pour garantir un fonctionnement optimal de l’abattoir dont l’ouverture est proche, il appartient aux éleveurs de s’approprier les moyens mis à leur disposition et de procéder à une mise en règle de leurs exploitations.
Ce type d’évènement, au-delà de la souffrance inacceptable vécue par les animaux, n’est pas digne de pratiques professionnelles que la CCISM s’attache à transmettre à une filière qui porte beaucoup d’espoirs en terme d’emploi et de production locale qui se doit d’être d’une qualité irréprochable.
Enfin, alors que les éleveurs suivis par la CCISM déploient une énergie réelle pour que la filière de production bovine soit exemplaire et que l’on puisse appuyer la commercialisation des produits sur cette valeur, un tel évènement vient déprécier toute une profession et la CCISM regrette cette contre-publicité qui constitue un cas isolé.